En somme il s’agit de généraliser l’élaboration des plans B.
D’un côté je comprends, car c’est ce que je fais quand j’organise un événement. Mon principe est que "la sécurité c’est ce qui marche quand rien ne marche".
De l’autre, dans les domaines de la médecine dont je parle, on n’en est pas là. L’objectif est simplement de mettre un peu d’ordre dans les pratiques : il y a des bonnes pratiques, signe qu’il y en a des mauvaises ; et des qui sont meilleures que d’autres.
Mais c’est une humiliation pour un soignant que d’admettre qu’en moyenne le protocole, qui ne pense pas, est plus efficace que le cerveau qui pense.
Bien à vous,
M.C.