Et il y a là quelque chose qui me semble crucial : car en utilisant ce mot "sublime" je n’en pesais pas les implications, je savais seulement qu’il rendait compte de ce que je voulais dire et qui me dépasse.
Exemple, comme toute poésie sans doute, de pensée totalement irrationnelle.
Je crois que ce qui m’intéresse le plus dans toute cette histoire, ce que la démence nous raconte, c’est que décidément la cognition est une fonction bien plus accessoire que nous ne pensons. Et j’en viens à me demander pourquoi cette obsession de la démence survient à ce point en pleine période d’arrogance scientifique.