Bonsoir,
ma question porte surtout sur le questionnement de Géraldine, désarçonnée par le diagnostic, "DFT sans être sûr". Je me disais qu’il devait être extrêmement difficile pour un dément de se tenir une décision d’abstinence, et me demandais si cela ne rendait pas l’hypothèse d’une dépression profonde plus plausible.
Bien à vous,